*(Acrylique sur papier, 40/30cm, peinture inspirée par la strophe en préambule du poème éponyme de Guillaume Apollinaire (Recueil Poèmes à Lou, 1915). Ici-bas tous les lilas meurent Je rêve aux printemps qui demeurent Toujours Ici-bas les lèvres effleurent Sans rien laisser de leur velours… Je rêve aux baisers qui demeurent Toujours …/
Cette entrée a été publiée le mardi 16 février 2021 à 17 h 39 min et publié dans Oeuvres. Vous pouvez suivre les commentaires liés à cette entrée par flux RSS 2.0.
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